IFA 2011 – 3ème partie, l’IT, les tablettes et le fun

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L’informatique traditionnellement peu présente sur l’IFA s’est illustrée par de véritables nouveautés car ce fut l’occasion de présenter les premiers ultrabooks qui répondent au cahier des charges fixé par Intel et le résultat est très convaincant. Sur le front des tablettes, on se bat au-dessus et en dessous de la ceinture avec des procès et des différenciations dans la taille et le design. Rien de bien folichon. Il n’y a guère que Sony qui se distingue par l’intégration de sa plateforme de contenu musical et vidéo.

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Plutôt calme en général, cette édition 2011 de l’IFA aura vu quelques nouveautés intéressantes du côté des appareils mobiles. Première grande tendance, les ultrabooks sont de sortie ! Les constructeurs ont visiblement été réceptifs au concept d’Intel et les premiers constructeurs montraient leurs modèles. Il y a d’ailleurs une certaine uniformité, tant au niveau du design que des caractéristiques techniques. Petit rappel des principaux ingrédients de la recette : finesse (moins de 20 mm), légèreté (moins de 1,4 kg), autonomie conséquente (minimum 5 heures), démarrage quasi instantané et surtout un prix relativement contenu pour ce type de machine (à partir de 800 euros). Le pari est donc visiblement réussi avec des ordinateurs ultraportables extrêmement séduisants pour les amateurs de mobilité.

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Coté téléphonie, il y a avait peu de nouveautés. Samsung s’est contenté d’annoncer la troisième itération du Wave mais aussi le Galaxy Note. Le constructeur coréen affirme confiant qu’il existe une place pour ce genre d’appareils à la croisée des tablettes et des smartphone. HTC a présenté de son côté deux nouveaux terminaux Windows Phone 7, qui devraient arriver pour accompagner la sortie de Mango, la première mise à jour majeur de l’OS mobile de Microsoft.

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L’univers des tablettes ne présente pas beaucoup d’innovations non plus, les seuls annonces concernant des constructeurs ayant pris du retard sur la concurrence (Sony) ou ayant été présents tôt sur le marché (Toshiba). Samsung a également annoncé un nouveau modèle séduisant, la Galaxy Tab 7.7 et complète ainsi sa gamme en proposant des modèles dans toutes les tailles. A noter que la guerre avec Apple s’est prolongée jusque dans les allées du salon puisque les exemplaires présents sur le stand du coréen ont disparu suite à une décision d’un tribunal de Düsseldorf interdisant la vente du modèle 7,7 pouces.Acer a annoncé lors de l’IFA son premier ultrabook, le S3. C’est un 13,3 pouces léger (1,38 kg) et tout en finesse (13 mm). Pour atteindre ces mensurations, Acer utilise un alliage de magnésium et d’aluminium qui apporte une grande rigidité. Corollaire non négligeable, la matière lui confère aussi un aspect très luxueux d’autant que pour l’essentiel tout semble fait d’une pièce. A l’intérieur c’est plus classique avec les Core i de seconde génération d’Intel. Le stockage est assuré par un disque dur classique (320 ou 500 Go) accompagné de 8 Go de mémoire flash permettant un démarrage rapide et surtout une sortie de veille quasi instantanée. Le modèle le plus onéreux embarquera un disque SSD. Les différentes versions du S3 devraient être disponible rapidement à des tarifs allant de 799 à 1199 euros.

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Sony sort enfin ses tablettes

Le nippon était l’un des derniers grands constructeurs à ne pas proposer de tablettes, un manque désormais comblé avec deux modèles atypiques. Le premier est nommé Sony Tablet S et c’est un modèle de 9,4 pouces (1280 x 800) doté de l’habituel Nvidia Tegra 2 et de 16 ou 32 Go de mémoire. Petite originalité, la tablette n’est pas plate mais reprend la forme d’un magazine plié en deux pour une meilleure prise en main. Sony affirme aussi que cela la fait paraître plus légère alors qu’à cinq grammes près, elle fait le poids de l’iPad 2. Un port infrarouge est également présent pour servir de télécommande universelle. Le second modèle, nommé Sony Tablet P affiche avec ses deux écrans de 5,5 pouces (1024×480) un petit air de Nintendo DS. Elle ne proposera que 4 Go de mémoire par carte SD. Les tablettes ont équipées de la version 3.1 d’Android et disposent de la certification PlayStation qui permettra de jouer à une sélection de titres PSD One.

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Le constructeur essaie d’ailleurs de se démarquer en intégrant sa propre plateforme de contenu (anciennement nommée Qriocity et rebaptisée Sony Network Entertainment) ce qui nous semble être une très bonne idée car sinon en dehors du look, toutes les tablettes sont similaires. Ainsi, on aura accès à Music Unlimited qui propose 10 millions de titres pour 10 euros par mois et la vidéo à la demande avec des films en HD. La Tablet S sera proposée entre 489 et 599 euros selon la quantité de mémoire tandis que la Tablet P sera elle vendue 599 euros.

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Le constructeur exposait également un prototype de baladeur Walkman Android doté d’un écran de 4.3 pouces (800×640) qui ressemble furieusement à un smartphone Xperia Arc de Sony Ericsson. On ne voit pas bien l’intérêt en France où les téléphones sont subventionnés et font la même chose, tout dépendra du prix qui n’est pas encore connu.

Medion : la passion du jeu

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Medion a décidé de faire plaisir aux joueurs en introduisant deux foudres de guerre dans les rangs de la gamme ERAZER : les X6817 et X7813. Les configurations de ces portables gamer sont quasiment identiques, le X7813 proposant un confortable écran de 17 pouces, là où le X6817 est en 15 pouces. A l’intérieur, on trouve un processeur Intel Core i7-2720QM (2.20 GHz, 6 Mo Intel SmartCache), jusqu’à 16 Go de mémoire, une carte graphique Nvidia GeForce GTX560M avec 1,5 Go de mémoire DDR-5, un disque dur de 1 To soutenu par un seconde disque classique ou SSD, un système audio 2.1 ou encore de l’USB 3.0. PC pour joueur oblige, les touches Z, S, Q, D particulièrement utilisées sont mises en avant par un code couleur pour une identification immédiate. Ces deux notebooks de pointe seront disponibles dans le courant du mois, le X7813 étant annoncé à 999 euros.

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Dans un tout autre registre, Medion exposait aussi ses ClipCover, des sur-coques qui viennent se clipser sur le dessus de votre ordinateur afin d’apporter une touche plus personnelle. Initialement développée pour les Medion Akoya E1225, E1226 et E1228, ces coques design s’adaptent aussi à d’autres modèles. Enfin, il fut aussi question de GPS avec le GoPal S3857, un appareil conçu pour les randonneurs et les amateurs de balades à vélo puisqu’il dispose d’un support VTT. Doté d’un écran de 3 pouces, il résiste à l’eau et aux (petites) chutes. Il embarque aussi un compas 3D, un altimètre barométrique, et des centaines de cartes topographiques. Il est d’ores et déjà disponible au prix de 269 euros.

Lenovo se met à aussi à l’ultrabook

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Très connu dans l’univers professionnel, Lenovo cherche à augmenter sa notoriété dans le grand public. En Europe, la firme se concentre dans un premier temps sur l’Allemagne, aidée en cela notamment par le rachat de Medion. Le fer de lance de cette offensive sera l’Ideapad U300s, le premier ultrabook de la marque. Ce modèle de 13,3 pouces se démarque par un design et une orientation haut de gamme. La configuration variera selon les modèles mais ce sera un processeur Core i5 ou i7, 4 Go mémoire et un SSD de 250 Go. Une variante qui ne répond pas à la norme ultrabook moins puissante mais moins onéreuse sera disponible sous la référence U300 tandis qu’un modèle de 14 pouces doté d’un lecteur optique nommé U400 a également été présentée. Aucune date de sortie n’est annoncée.

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Lenovo lance aussi sa première tablette. Nommée IdeaPad A1, elle est équipée d’un écran 7 pouces (1024×600) et d’un processeur Texas Instrument cadencé à 1Ghz. Avec 11,9 mm d’épaisseur et un poids de 400g, elle est séduisante et devrait être disponible à partir de 200 euros.

Samsung : quelques nouveautés

Samsung s’est révélé un peu plus prolixe que la moyenne en matière de mobilité avec plusieurs annonces marquantes. La marque élargit ainsi sa gamme de tablettes avec une Galaxy Tab 7.7 puissante (processeur double cœur à 1,4 GHz) et surtout équipée d’un écran Super AMOLED qui offre une excellente qualité d’affichage. Nous avons vraiment été impressionnés par la luminosité, le contraste et les couleurs. Enfin une tablette réellement utilisable en extérieur. Pour autant, elle est très fine (7,89 mm) et très légère (335grammes).

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Sur le front des smartphones, la sortie de la version de l’OS Samsung Bada 2.0 est accompagnée par un Wave 3 séduisant qui passe à un écran 4 pouces et à une dalle Super AMOLED. Mais Le Galaxy Note est probablement la nouveauté la plus étonnante de Samsung. Cet appareil de 5,3 pouces (1280×800 Super AMOLED) définit selon Samsung une nouvelle catégorie entre tablettes et smartphones classiques. Les composants sont également de premier choix avec le même processeur à 1,4 GHz. A noter que cet hybride est doté d’un stylet pour prendre des notes ou encore dessiner ce qui en fait aussi une sorte d’agenda de luxe à toujours avoir sur soi.

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Les ordinateurs de la marque ne sont pas en reste avec une série 7 Chronos très remarquable. Résolument haut de gamme, ces notebooks ne sont pas sans rappeler les Macbooks Pro d’Apple avec leur construction en aluminium et le grand touchpad en verre. Très compacts grâce à un cadre d’écran ultrafin, ces Série 7 Chronos seront proposés en 13,3, 14 et 15 pouces dans des configurations variées (Intel Core i5/i7 et cartes graphiques AMD). Samsung clame d’ailleurs qu’avec le nouveau bord on gagne une taille à encombrement égal.

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Après une Folio 100 pas franchement réussie, Toshiba se devait réagir avec une tablette compétitive. C’est visiblement chose faite avec la Exite AT200. Conservant la diagonale de 10 pouces de se grande sœur, cette tablette est bien plus compacte (épaisseur de 7,7 mm). Toshiba affirme d’ailleurs que c’est la plus fine du marché, encore une. Ce qui est certain, c’est que la finition est très flatteuse avec une dalle de verre qui recouvre toute la face avant et un dos en aluminium d’une pièce. Seul l’ajustage entre les deux semble perfectible. Elle adopte surtout Android 3.2, la dernière version du système d’exploitation mobile de Google. Le processeur est un double cœur cadencé à 1.2 GHz et signé Texas Instruments.

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Toshiba a également présenté sa vision de l’ultrabook avec le Portégé Z830 doté d’une diagonale de 13,3 pouces. Là encore, Toshiba a misé sur une finesse extrême (entre 8,3 et 15,9 mm) et un poids ultraléger avec seulement 1,12 kg sur la balance. De même, tout l’ordinateur semble fait d’une pièce en alliage de magnésium et d’aluminium. Il faut bien avouer que c’est sans doute l’ultrabook le plus séduisant de tous ce qui aura un prix pas encore connu mais certainement très élevé. A l’intérieur que le meilleur aussi avec des processeurs Intel Core i5/i7, 128 Go de SSD et 6 Go de mémoire.

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Pocketbook lit dans toutes les tailles

Quatrième acteur du marché derrière des mastodontes comme Amazon, Barn&Nobles et Sony, la compagnie ukrainienne continue son petit bonhomme de chemin. Trois nouveautés étaient présentes lors de cet IFA.

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Les premières sont les liseuses Pro 612 et Pro 912. Dotées respectivement d’un écran e-ink de 6 et 9 pouces elles reprennent les caractéristiques des modèles les plus haut gamme de la marque (stylet tactile Wacom, large compatibilité, logiciel open source) en enlevant le module 3G pour réduire les prix. Aucun détail concernant le tarif ou la disponibilité n’a été annoncé.

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Pocketbook a également présenté sa première tablette Android nommée A10. Très fine et bien finie, elle est surtout dédiée à la lecture malgré un écran LCD de 10 pouces. Elle sera disponible en novembre pour un prix encore inconnu mais qui devrait se situer sous la barre de 300 euros. Evidemment en France, le livre électronique achoppe à la résistance des éditeurs, seul la FNAC proposant un catalogue décent. Elle serait d’ailleurs bien inspirée de remplacer sa liseuse actuelle par une Pocketbook autrement plus ergonomique. Quand on voit le succès des Kindle d’Amazon aux Etats Unis et maintenant en Allemagne, on peut que secouer la tête devant l’hostilité des éditeurs français alors que l’évolution vers l’électronique est aussi inéluctable qu’elle le fut pour la musique et la vidéo.

HTC : retour aux sources

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Malgré une présence plutôt discrète, le fabriquant taiwanais n’était pas venu les mains vides et présentait sur son stand deux modèles inédits, le Titan et le Radar. Tous deux sont équipés de la dernière version de Windows Phone 7 (surnommée Mango). HTC revient donc à ses premiers amours après avoir quelque peu déliassé Windows au profit d’Android. Avec son écran de 4.7 pouces et son processeur Qualcomm double cœur cadencé à 1,5 GHz, le Titan est orienté résolument haut de gamme. Moins puissant et surtout plus petit, le Radar s’adressera lui aux amateurs de photos et de réseaux sociaux. Les deux appareils sont très bien finis avec une conception unibody en aluminium et seront dans les étals début octobre pour 449 et 649 euros.

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Boogie Board : l’ardoise 2.0

La bonne vieille ardoise et même son successeur le feutre Velléda ont vécu ! La Boogie Board est une tablette LCD qui s’utilise comme n’importe quelle ardoise. Le résultat est très précis et d’autant plus impressionnant que l’appareil est très fin (7 mm) et bénéficie d’une grand autonomie. Comme les écrans e-Ink utilisés par les e-books, la dalle Reflex LCD n’utilise de l’énergie que lorsque qu’elle change d’affichage. Cela lui permet de tenir près de 5 0000 cycles d’effacement sans changer les piles. Trois modèles sont actuellement disponibles : deux de 8,5 et 10,5 pouces que l’on pourra laisser sur son bureau ou fixer au réfrigérateur et un modèle de 8,5 pouces doté de trous pour l’installer dans un classeur. L’entreprise a également présenté le modèle Rip qui ajoute la possibilité de sauvegarder ses créations. Il suffira de brancher la tablette sur son PC via l’USB pour récupérer les dessins enregistrés. Cette capacité a toutefois un prix en termes d’autonomie puisque la batterie intégrée ne devrait durer qu’une semaine. C’est donc l’accessoire parfait pour remplacer une ardoise ou même des post-it. Ces Boogie Board sont disponibles pour respectivement 40, 60 et 45 dollars tandis que la Rip n’a pas encore de tarif annoncé.

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Nvidia : plus de jeux en attendant

Si le constructeur au caméléon était présent sur cet IFA 2011, il s’est montré très avare en nouveautés, préférant mettre en avant le grand succès de sa plate-forme Tegra 2. Intéressant pour les possesseurs de tablettes et de smartphones équipés de ce processeur, la production de jeux optimisés a enfin atteint son rythme de croisière, tant en terme de quantité que de qualité. En effet malgré une puissance équivalente, les titres iPad 2 affichaient jusqu’ici une qualité nettement supérieure. La situation tend à s’inverser désormais. Des titres comme Galaxy On Fire 2 sont nettement plus impressionnants que sur la tablette d’Apple. On remarque par exemple des textures bien plus précises ou encore un nombre de polygones 3D en nette augmentation. Toutes proportions gardées, on atteint une qualité graphique jusque-là réservée aux consoles HD, voire aux PC. Tout cela ne peut que nous mettre l’eau à la bouche pour le Tegra 3 (nom de code Kal-El) qui devrait multiplier les performances par quatre. Si Nvidia s’est montré très discret à ce sujet, la marque a confirmé que les premières tablettes à en être équipées seraient disponibles avant la fin de l’année.

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L’énergie alternative

L’énergie alternative est un thème logiquement devenu prépondérant pour toute industrie et qui a donc sa place sur un salon comme l’IFA. Suite au rachat de Sanyo, Panasonic illustrait sur le stand sa position devenue très forte en la matière. Ainsi, on pouvait voir les cellules photovoltaïques les plus efficaces de la planète avec un rendement maximal quel que soit l’intensité du soleil. Panasonic montrait aussi une première solution de stockage électrique à domicile qui évite d’être obligé de revendre à EDF tout surplus de production. Mais le plus impressionnant est sans un projet d’une ville écologique qui se construit en Chine. Il s’agit de 1 000 maisons dont la consommation énergétique est réduite de 70% en employant massivement l’énergie solaire.

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Le salon donnait aussi l’occasion de découvrir l’état de l’art allemand en matière d’énergie renouvelable. On pouvait découvrir sur le stand du Frauenhofer un premier prototype de moto électrique particulièrement proche de la production. Plus proche du solex que de la moto, ce modèle vous propulsera à 45km/h avec 60km d’autonomie. Il est d’ailleurs équipé d’accus Lithium/Ion Panasonic. Vous pouvez donc oublier pour l’instant vos rêves de balade en Corse.

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Autre prototype très avancé, ce coupé utilisé par le Frauenhofer et VDE pour la recherche exploite une solution originale avec un moteur par roue. L’idée est d’utiliser le même élément pour réaliser à la fois les fonctions motrices et le freinage avec une récupération d’énergie au passage. Si l’attention du public se porte bien entendu sur les véhicules électriques, on oublie souvent que c’est surtout l’infrastructure qui pèche encore. Et le groupe de recherche VDE y pense car il faudra bien que l’on paie à chaque fois qu’il fait le plein ! L’idée de VDE est d’une élégance absolue. Le véhicule comporte un identifiant qui est transmis directement au fournisseur d’énergie du conducteur dès qu’il branche sa voiture sur n’importe quelle prise de courant, transformant ainsi le réseau de distribution en immense réseau CPL. Simple et efficace en attendant que les pirates se penchent sur le sujet évidemment.

Wall-E joue à Puissance 4

La robotique avance, et les premiers qui en profiteront, ce seront les enfants. Sur le stand Lego, on pouvait voir toute une collection de robots et de jeux associés. Il y avait un mini SegWay à diriger depuis une télécommande ou encore ce fantastique robot qui joue avec vous à Puissance 4. Dire qu’on en rêvait tous quand on jouait avec les premiers lego technique dotés un pauvre moteur électrique tout simple…

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LittleBigSpeaker

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La société Infinity Entertainment sortira pour Noël une gamme d’enceintes pour baladeurs et smartphones aux couleurs bien geek. Du petit robot au SackBoy en toile de Little Big Planet de Sony. Chaque petite enceinte dispose d’une batterie, rechargeable par USB et d’une entrée audio compatible avec tout type de baladeur.

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Au demeurant, la finition de ces petits objets est vraiment impressionnante. A noter que la société n’en est pas à son coup d’essai puisqu’elle réalise également certains goodies pour Ubisoft et ses Lapins crétins. Par ailleurs, on trouvait d’autres créations tout aussi originales sur le stand, comme ce Dock iPhone façon Lego. Certes, la qualité est loin d’être du niveau d’une chaine Hi-Fi, mais au moins c’est original.

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Les Plus

  • L'élégance danoise
  • Qualité de fabrication et de finition
  • Simplicité d'utilisation

Les Moins

  • Prix élevé
  • Pas de commande de volume

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