Uber a du mal à sortir de sa spirale d’ennuis. Alors que ses investisseurs se font de plus en plus nombreux et qu’il se trouve de plus en plus présent autour du globe, la firme américaine de transport de particulier enchaîne les déboires auprès du public, principalement à cause de mauvaises décisions.
A Sydney, une prise d’otage a démarré dans la nuit de dimanche, ce qui a conduit les riverains à s’éloigner de la zone, utilisant le service Uber jusqu’à la surcharge. Comme l’application gère automatiquement les situations de pics d’affluence en augmentant les tarifs, les courses ont coûté plusieurs dizaines de dollars très rapidement, allant jusqu’à 100 dollars australiens minimum.
Au lieu d’enrayer la mécanique, la firme a annoncé sur Twitter qu’elle soutenait les personnes dans le centre de Sydney en augmentant les prix… pour attirer les chauffeurs. Une manœuvre de communication qui, bien entendu, a fait un tollé sur Twitter. Face à cela, la firme s’est empressé de rétropédaler et a finalement décidé de prendre à sa charge les courses de la journée, tant que la crise durerait. Encore une occasion ratée de montrer patte blanche.
