On l’a reçu, sur PC. Comme prévu, c’est incroyablement beau et ça tourne super bien, même sur un PC de l’an dernier. Mais bon. Les bugs… Pfiouuuu… On sent très clairement que le jeu est sorti vraiment trop tôt pour être présent à Noël. Dans un premier temps, les bugs de collision sont assez frappants. Comme tout bug de collision, c’est un peu rigolo au départ. C’est amusant quand il y en a un. Mais Assassin’s Creed Unity a tellement de problèmes de collision que ça devient franchement pénible en dix minutes. D’autre part, je ne sais pas si ça s’apparente à des bugs de collision mais on a très régulièrement des personnages qui disparaissent dans le sol, comme aspiré par un vortex.
Il faut savoir que les bugs de collision sont les moins pénalisants pour un jeu. C’est chelou mais ça arrive. En revanche, des crashs ultra réguliers, ça commence à faire beaucoup. Personnellement, ça faisait même un moment que je n’y avais pas eu droit et pourtant, récemment, j’ai lancé les jeux les plus exigeants. Tout a parfaitement fonctionné, pas un seul plantage, aucun problème technique. Unity, c’est le festival des bugs. Le quatrième patch approche, corrige des choses, notamment des problèmes survenus avec le troisième correctif.
Le test aura lieu ; mais en l’état, Unity est le jeu des superlatifs mais pas exactement ceux qu’on attendait.