Les éditeurs, devant la justice, se plaignaient principalement de la méthode : le « je-scanne-je-demande-après », ça a déplu.
Mais Google avait tout de même un argument qui n’était pas complètement illogiques : tous les livres scannés, enfin, une grande partie, n’étaient plus édités. Et dans le cadre d’un accès à la culture pour le plus grand nombre, Google Books s’était passé des autorisations.
Aujourd’hui, un accord a émergé. L’éditeur qui voudra retirer un livre le fera sur demande.
Sept ans pour en arriver là ?