Se pose surtout l’utilité de ce genre de décision. Sans même parler de la qualité du réseau, déjà catastrophique dans les trains, il faut savoir que dans un TGV par exemple, les ondes émises par un téléphone sont démultipliées. Plus gênant, la gestion des conversations dans un espace aussi confiné va poser de gros problèmes. Déjà, dans un train, pour ne pas déranger ses voisins, s’il est possible d’aller dans la zone de plate-forme entre deux wagons, dans un avion, on a bien du mal à imaginer un équivalent. Tout l’intérêt de ce projet est bien sûr de proposer par contre une connexion à Internet, qui permettrait alors de continuer à surfer sur son smartphone ou sa tablette pendant le vol…
L’Arcep consulte les opérateurs pour la 3G et 4G dans les avions
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