Tout le monde a eu tout de même l’impression que Free avait bon dos dans cette histoire et que les opérateurs historiques avaient trouvé un prétexte en or pour se séparer d’une partie du personnel.
Aujourd’hui, Free riposte en expliquant que sa division mobile avait évidemment créé des emplois, de 16.000 à 30.000, directs ou indirects.
Et ce n’est qu’un premier pas ; si les prix baissent encore de 10%, 30.000 nouveaux emplois pourraient être créés car la concurrence n’est pas un « handicap pour l’investissement », comme le disait Montebourg mais elle crée des emplois.
Bon, maintenant, si Xavier Niel pouvait se mettre à créer des supermarchés, des banques, des assurances, des voitures et quelques autres trucs de ce genre, on serait curieux d’essayer…