Politwoops avait une mission d’intérêt public : se souvenir à votre place des tweets que les élus de 30 pays ont supprimé pour redorer leur image ou à la suite d’une boulette. Propulsé par plusieurs comptes et un robot, Politwoops veut garder une trace de ce que les élus ne veulent pas que vous voyez.
Cela dit, Twitter n’a pas souhaité laisser le champ libre à cet organisme. Le réseau social a en effet banni le compte Politwoops qui alimentait les sous-comptes dédiés à chaque pays. Les organisateurs s’y attendaient, mais c’est un coup dur pour l’image du réseau social qui se place volontairement dans le camp de ceux qui souhaitent cacher leurs déclaration pour maîtriser leur image.