Ne nous voilons pas la face. Bien que le terme soit désormais tellement galvaudé qu’il ne veut plus rien dire, tout en rassemblant beaucoup de monde, si nous sommes sur ce site (lecteurs comme journalistes), c’est que nous avons la « fibre Geek ». Il est rare que nous nous intéressions à des projets participatifs, même si certains méritent sans conteste de voir le jour, mais force est de constater que la promesse de Breeks est alléchante.
L’idée directrice derrière ce projet est un constat finalement évident lorsqu’il est posé ainsi : les geeks d’hier sont devenus les parents d’aujourd’hui. Face à son enfant, le geek succombe facilement à ses vieux démons, se posant des questions existentielles d’importance comme : dois-je lui faire découvrir la saga Star Wars dans l’ordre de production ou chronologique ? Par quel jeu de rôle doit-il commencer pour s’initier ? Quel est son personnage des Simpson favori (Homer, Homer, pitié Homer !) ? Que va-t-il construire de valable avec ce tas de Lego ?
C’est pour répondre à toutes ces questions que Breeks veut exister. Les créateurs de ce magazine en devenir (ou en développement au choix), affirment : « Nous sommes Geeks et nous l’assumons mais nous avons parfois du mal à nous reconnaitre dans les définitions qui sont proposées. Il s’agit pour nous « d’un marqueur culturel qui indique qu’à un moment de notre vie des univers de fictions quel que soit le support ou le genre nous ont traversé et influencé pour construire notre identité et font partie intégrante de nous une fois adulte ». Rien de plus, rien de moins. »
Si vous voulez en savoir plus et soutenir la démarche, rendez-vous ici ! Dans le cas contraire, vous trouverez des dizaines de projets incroyables sur les plateformes participatives (que vous pouvez partager avec nous !), et peut-être même avez-vous vos propres projets en cours de financement (à partager aussi avec nous !). Bref il y a de quoi faire dans ce monde 2.0.
