Si on peut reprocher énormément de choses à Internet, on ne peut pas lui retirer son droit (parfois poussé dans ses extrémités les plus ridicules ou condamnables) à une liberté de ton et de parole. Ainsi ce qui est censuré, interdit ou dénoncé un peu partout dans le monde peut se retrouver sur le réseau, pour le pire et souvent le meilleur. Dernier exemple en date amusant, une publicité pour la marque Durex qui devait profiter du Super Bowl 2012, évènement médiatique télévisuelle de l’année, pour officialiser son lancement. Sauf qu’au pays du puritanisme patenté, il y a des images ou des idées (subversives ?) qui peinent à passer auprès des annonceurs et décideurs qui choisissent ce qui va choquer ou pas le public américain. Heureusement, dans un cas comme celui-ci, Internet est là pour assurer une exposition qui, en raison de la censure qui frappe, sera sans doute bien plus étendue. C’est ça qu’on appelle créer le « buzz », non ?