Il y a quelques jours, Sony s’est fait hacker ses serveurs lors d’une opération d’une ampleur assez gigantesque, conduisant à la fuite de plusieurs films, dont des titres pas encore sortis comme le remake d’Annie prévu pour le 19 décembre de cette année. Le principal suspect ? La Corée du Nord, dans la mesure où elle s’était plainte il y a peu d’un film humoristique mettant en scène Kim Jong-Un.
Le FBI est sur les traces des hackers, gouvernementaux ou non, mais les relations publiques des différents états impliqués sont aussi entrées dans la danse. Accusée d’avoir mené cette opération, la Corée du Nord n’a pas nié et a préféré botter en touche par un énigmatique « Wait and See », adressé à la communauté internationale. De quoi faire planer le doute sur l’implication du régime, jusqu’à ce que des preuves soient trouvées…
