IFA 2015, le résumé des annonces audio

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L’audio nomade et dématérialisé a bousculé le marché de l’audio mais a également fait naître de nouvelles formes d’expression qui sont actuellement à leur apogée sur un marché globalement sain. Après les errements du volume à tout prix par des produits mode ou de piètre qualité audio, un retour au sérieux fait le plus grand bien à l’industrie du secteur. Le casque retrouve des couleurs et surtout propose une montée en valeur par la qualité. Le sans-fil progresse logiquement, la qualité audio est de retour, même en grand public, et la finition est soignée comme le design. L’enceinte Bluetooth, et sans fil en général, connaît une croissance phénoménale. Si le volume se fait sur l’entrée de gamme, la qualité fonctionne très bien aussi avec un haut de gamme en pleine forme. Les codes sont d’ailleurs similaires au casque. Même la chaîne stéréo se porte bien, tant qu’elle intègre le dématérialisé et la connexion. En audio-vidéo, les fabricants ont compris que les produits devaient se simplifier et fort logiquement la barre de son remporte tous les suffrages. Reste le multi-room sur qui reposent beaucoup d‘espoirs mais la croissance demeure timide face au potentiel, surtout en raison d’une trop grande complexité. C’est cependant un point qui a été compris par les fabricants qui proposaient des solutions intéressantes sur cet IFA. Le message de la qualité passe aussi pour faire comprendre au public que musique dématérialisée ne signifie pas mauvaise qualité. Le label Hi-Res Audio se généralise et même s’il s’agit surtout d’un concept marketing, c’est une bonne chose. Rappelons que cela ne s’applique en principe qu’à l’acceptation en source de fichiers non compressés de qualité. Désormais, on l’étend à tout et surtout n’importe quoi, affublant un casque de l’étiquette, juste pour une plage de fréquence soi-disant étendue. Ce n’est pas grave en soi et d’ailleurs les marques spécialistes du casque s’abstiennent le plus souvent. Autre moteur du marché, une tendance vintage qui se confirme, déjà par les platines vinyles, mais aussi par des chaînes, des casques et même des enceintes sans fil qui reprennent le look des années 50 à 70.

Audio-Technica , Vintage moderne

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Le renouveau du vinyle s’accompagne d’un engouement croissant pour la platine mais le marché est structuré de manière curieuse. Il y a les fabricants qui proposent des platines pas chères mais dont la qualité audio laisse franchement à désirer. Ensuite, il y a les platines pour DJ à des prix logiquement plus élevés et des platines audiophiles pour le coup hors de prix. Celui qui cherche un platine moderne de qualité à brancher sur sa chaîne ou tout autre moyen de diffusion, le tout à prix abordable, a bien du mal à trouver. Pionnier et acteur principal de la cellule, Audio-Technica lance enfin une platine qui réponde à ces critères pour un prix très correct de 449 euros. Elle bénéficie déjà d’un beau châssis en ABS renforcé en dessous par du métal pour une stabilité optimale. Cette AT-LP5 dispose en outre d’un moteur direct drive, à la fois précis et sans entretien. Le plateau en métal moulé mais ré-usiné ensuite garantit une rotation stable et une sensibilité réduite aux vibrations. Le bras de forme incurvée reste aligné avec le sillon de l’extérieur à l’intérieur du disque avec une tolérance de moins de deux degrés. La suspension du bras est en métal et à roulement, le tout réglable simplement. Audio-Technica a opté pour une cellule AT95 déjà de bon niveau, à laquelle s’ajoute le suffixe X car la suspension a été améliorée pour une attaque plus vigoureuse. A l’écoute, la dynamique des instruments est impressionnante mais le rendu semble plus adapté au classique, au jazz, au blues, au rock et à la pop qu’à l’électro. Très belle ce qui ne gâche rien, cette platine devrait être un grand succès car seule sur son créneau.

Audio-Technica ,du bois sur l’oreille

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Audio-Technica lance un nouveau casque supra-auriculaire audiophile, le ATH-W1000Z à 790 euros. Les oreillettes sont en bois précieux, du teck plus exactement, et surtout le design reprend celui d‘un casque mythique du fabricant. Il est vrai qu’il est magnifique avec son look délicieusement vintage. Le port est très confortable et du peu que l’on puisse juger sur un salon, le rendu est aéré et dynamique.

Yamaha , Cinéma sans contrainte

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Yamaha présentait une des premières barres de son Dolby Atmos et DTS X avec donc une prise en compte de la hauteur dans la spatialisation. Cette YSP-5600 sera vendu 2 000 euros seule et 2 290 avec un caisson de graves sans fil (mandataire selon nous). Certes, ce n’est pas donné mais la technologie derrière est impressionnante avec pas moins de 44 haut-parleurs dans la barre. Elle est assez imposante mais demeure finalement discrète sous le téléviseur, surtout à comparer avec un home cinéma classique. Nous avons eu la chance de regarder et surtout entendre la scène de l’attaque navale de Kings Landing dans Games of Thrones et il faut reconnaitre que c’est vraiment bluffant. Si le son n’est toujours pas vraiment à l’arrière, en revanche il est sinon tout autour. L’immersion est incroyable. On a l’impression d’être au centre de l’action avec une réelle spatialisation dans les trois dimensions. Avec un investissement somme toute raisonnable et un encombrement ridicule, le cinéphile pourra se créer un cinéma à la maison vraiment immersif.

Yamaha, son sans frontière

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Tout le stand à L’IFA tournait autour de Music Cast, le système multi-room novateur dont nous vous parlions dans le dernier JDLI. Rappelons que le principe est de placer le module multi-room dans une majorité d’appareils avec un paramétrage ultrasimple et des possibilités infinies. En addition aux produits annoncés précédemment sortiront en novembre deux mini-chaînes MCR-N670 à 849 et MCR-N870 à 1150 euros qui sont franchement belles. Extrait de ce système, le lecteur CD et réseau CD-NT670 à 449 euros pourra servir à rendre toute chaîne compatible Music Cast, une riche idée pour accéder aux contenus en ligne et à toute sa musique dématérialisée sans compromis sur la qualité car l’appareil est équipé de convertisseurs Burr Brown.

Sennheiser, une évolution naturelle

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Le casque Momentum de Sennheiser aura marqué de son empreinte le retour à un casque audio fermé de qualité, à la fois en termes de fabrication, de design et surtout de qualité audio. Fort du succès du over-ear (circum-auriculaire) et du on-ear (supra-auriculaire), Senneheiser avait sorti il y a quelque mois le Momentum 2 décliné de la même manière. A l’IFA, c’est désormais la version sans fil qui est annoncée et qui arrivera en octobre. Le résultat est spectaculaire, avec là encore un modèle supra et un modèle circum-auriculaire. Ce dernier a nos faveurs car son confort s’avère exceptionnel. La finition est magnifique, tout comme le look avec du métal et du cuir véritable, sans parler de tons harmonieux. La transmission se fait en Bluetooth aptX et l’autonomie est de 20 heures et de surcroit, ces casques sont équipés de la réduction de bruit active. Nous avons essayé le modèle over-ear (449 euros) et les premières impressions sont plus que positives. La réduction de bruit est efficace sans affecter le son et sans créer une sensation d’isolement. Comme évoqué, le confort de port est parfait et surtout la restitution est enthousiasmante avec beaucoup de clarté et d‘aération mais aussi de la rondeur et de la chaleur sans excès. On s’approche dangereusement du casque idéal qui réunit un design magnifique, une finition parfaite, une réduction de bruit efficace, un confort maximal et surtout un rendu audio magnifique.

Plantronics, casque poids plume

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Plantronics est un acteur assez récent du casque audio, du moins en grand public, car c’est le numéro un mondial dans le monde professionnel. C’est d’ailleurs une filiation qui ne peut pas se démentir. Plantronics sort peu de modèles mais à chaque fois, ils sont le fruit d’une longue gestation et posent des jalons. Plantronics s’en tient d’ailleurs au sans-fil en Bluetooth, sa spécialité. Le Backbeat Pro avait impressionné par sa qualité mais au niveau design, on restait sur l’austère du pro. Le Backbeat Fit est tout simplement le meilleur intra de sport du marché avec enfin un look plus moderne. Le nouveau Backbeat Sense marque une étape supplémentaire, Plantronics semblant avoir compris que les codes du pro ne s’appliquaient pas en design grand public. Il s’agit d’un supra-auriculaire sans fil dont la première caractéristique est une légèreté extrême (140 grammes) pour un confort de port maximal. Les mousses des oreillettes sont à mémoire de forme, le serre-tête est auto-ajustable et les coques sont articulées sur deux axes. Effectivement, le Sense peut revendiquer un confort rarement atteint avec un casque supra sans fil. Les commandes sont intuitives avec notamment une couronne autour d’une oreillette pour régler le volume. L’autonomie est de 18 heures environ ce qui est très long et le rendu sonore est très plaisant, à la fois fidèle, dynamique et aéré, sans coloration particulière mais sans agressivité non-plus. Il est livré avec une belle pochette de transport, un câble de charge et un autre de connexion filaire. Disponible en octobre à 179 euros.

B&O Play, sans fil de taille

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Après la A2 mobile et la Beolit 15 déjà cossue, B&O Play lance l’enceinte sans fil A6. Si elle demeure transportable, elle est aussi de taille conséquente et alimentée par secteur. Tout en longueur, sa forme promet une acoustique exceptionnelle. Cette fois-ci, il s’agit de la placer près d’un mur pour profiter de sa réflexion et un son spatialisé sur 180 degrés. La coque en plastique demeure invisible car entièrement recouverte par un tissu gris du meilleur effet. Cette façade amovible pourra d’ailleurs être changée pour varier les couleurs (129 euros). Comme toujours, le design est magnifique pour un très bel objet. A l’intérieur, il y a débauche de technologie avec deux woofers de 10 cm et deux tweeters de 2 cm en façade ainsi qu‘un 4 cm large-bande en opposition à l’arrière. Le tout est alimenté par 5 amplificateurs classe D séparés pour une puissance totale de 240 W RMS. Autant dire qu’il est possible de sonoriser une très grande pièce et le rendu est franchement étonnant par sa présence alors que l’encombrement reste limité. La transmission se fait en Bluetooth, en AirPlay et en WiFi. Par ailleurs, la A6 est compatible avec l’application multi-room BeoLink et Spotify Connect. Pour s’offrir ce monstre esthétique, il faudra débourser 999 euros.

Technics, pour le peuple

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L’IFA 2015 permet de mieux cerner la stratégie de Panasonic dans la résurrection de la marque Technics. Après avoir assis l’image de marque très élitiste par des produits hors de prix, le commun des mortels est désormais concerné aussi. Ainsi, Technics lance un casque audiophile supra-auriculaire de salon à 1 200 euros. De technologie fermé et très bien fini, il est confortable et pas trop lourd. Sa particularité est de combiner un tweeter et un haut-parleur large bande dans chaque oreillette pour un rendu sonore il est vrai enthousiasmant car à la fois précis et aéré mais avec de la rondeur. La mini-chaîne Ottava est très désirable et livrée avec deux enceintes bibliothèque à 1 900 euros. Tout en aluminium, la partie électronique est dotée d’un lecteur de CD sur le dessus avec un capot rond en plexiglas qui se tourne pour mettre ou enlever le CD, très classe. Elle ne renie pas la modernité avec une connexion réseau WiFi et de l’USB. L’écran tactile est également très réussi. Le son est très bluffant au regard de la taille des enceintes, notamment par sa spatialisation. Les basses demeurent discrètes et la chaine se destine d’avantage aux amateurs de musique pas trop violente.

Parrot, moins de bruit

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Parrot lance la troisième itération de son casque à succès, le Zik 3. Toujours sans fil et bardé de technologie, il se distingue par un port plus agréable et un revêtement matelassé des écouteurs qui est tactile, un exploit. Particularité, le casque dispose désormais de sept niveaux de réduction de bruit et Parrot est en train d’établir une carte mondiale du bruit environnemental grâce aux données recueillies par les utilisateurs. Le Zik 3 est compatible iWatch et Android Wear pour son pilotage par montre connecté. La recharge peut se faire par induction mais le chargeur nécessaire ne sera peut-être pas inclus dans l’offre de base. Tout cela est très hype alors que la restitution sonore est toujours aussi typée.

Samsung, un son plus sage

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Samsung continue à étendre sa gamme multi-room avec deux enceintes 360 degrés un peu plus consensuelles que les R7 en forme de goutte. La R1 à 199 euros et la R2 à 299 euros sont des cylindres qui diffusent donc la musque tout autour. Le son semble correct, pour autant que l’on puisse en juger sur le salon. Samsung a surtout refait l’application Wireless Audio désormais plus simple avec un concept qui mêle toujours intelligemment musque et audio-vidéo en incluant par exemple des barres de son.

Sony, marketing haute résolution

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Initiateur du logo Hi-Res Audio, Sony décline habilement les produits sur un concept qui reste flou et qui est donc parfait pour faire devenir audiophile des produits abordables avec une caution de qualité. Ce n’est pas un problème en soi, il faut juste comprendre qu’entre un baladeur miniature Walkman NWA25 à 279 euros et un modèle réellement audiophile à 1 000, il ne faut pas s’attendre au même résultat. D’ailleurs Sony communique plutôt sur des concepts marketing d’amélioration du son que sur des composants. Ce petit baladeur lit les fichiers audio 24 bits / 192 KHz ce qui lui vaut l’appellation et propose une réduction de bruit intégrée en accord avec le casque intra livré. Sony lance aussi deux casques Hi-Res Audio déclinés en cinq couleurs, un intra et un supra, tous deux à 180 euros. Là encore, le label Hi-Res relève surtout du marketing ce qui n’empêche pas ces casques d’être magnifiques avec pour le supra un son qualitatif à l’essai.

Phillips, multi-room simplifié

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Si le multi-room promettait l’eldorado pour l’audio, la réalité est tout autre et le concept a du mal à s’imposer au-delà des passionnés de son qui suivaient déjà Sonos depuis un certain temps. La raison est simple. Le commun des mortels ne comprend rien aux termes et à l’installation avec un raccordement en Wi-Fi sur la box et une terminologie qui le dépasse complétement. Ajoutez à cela une distribution qui peine à mettre en scène si on ne leur paie pas un shop in shop et on comprend que les volumes n’augmentent pas tant que cela. Philips / Gibson s’est attaqué au problème et a simplifié grandement le concept, même si cela se fait au détriment de la versatilité. La musique arrive sur le système en Bluetooth. Il suffit de s’appairer à un appareil mobile. Dès lors, on peut y diffuser la musique de son smartphone ou service en ligne comme Spotify. Cette manière de faire est passée dans les mœurs désormais. Ensuite, Les appareils du système se relient automatiquement entre eux par un Wi-Fi propriétaire. Il suffit d’appuyer sur un bouton. De même, on pourra choisir d’intégrer ou non un élément à l’écoute par une pression sur un bouton. Pour l’heure, la gamme comprend une enceinte filaire, la BM-5 à 129 euros et une mini-chaîne avec lecteur CD et radio FM, la BM50 à 280 euros. Elle permettra du coup d’entendre partout la radio et le CD, des moyens d’écoute encore largement répandus. Si ce n’est pas une approche technologique ou audiophile, Philips simplifie vraiment le multi-room auquel. Il ne reste plus qu’à trouver un nom français plus passionnant que multi-pièces.

Onkyo, mariage réussi

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Réunis sous une même structure Onkyo et Gibson unissent leurs efforts pour une gamme d’audio mobile réellement enthousiasmante basée tout autant sur la qualité sonore que sur des matériaux orignaux et qualitatifs. Ainsi, on retrouve par exemple des câbles tressés bicolores du meilleur effet et un large usage du métal brossé. Le casque H500 est un supra-auriculaire magnifique, très bien fini et au rendu audio à l’avenant pour un prix sommes toute raisonnable de 179 euros, une version Bluetooth sortira aussi à 229 euros. L’année prochaine s’ajouteront des intras qui seront les premiers à être complètement sans fil, c’est à dire sans câble qui relie les deux écouteurs entre eux. L’enceinte Bluetooth X6 à 200 euros en métal propose également une esthétique des plus réussies avec un son chaud et huit heures d’autonomie.

BigBen Interactive, le paradis des ados

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Le stand de BigBen Interactive a très certainement plu aux plus jeunes et spécialement aux ados. Ils ont pu y découvrir une nouvelle barre de son avec un design très « jeune » (l’Union Flag en mode glitter notamment !). Cette barre de son de 90 W, USB et Bluetooth, devrait remplacer les chaînes Hifi dans les chambres d’ados (99 euros). Dans la même veine, BigBen Interactive propose un nouveau radio réveil, à 35 euros, et tout aussi travaillé au niveau du look. Un projecteur permet d’afficher l’heure au plafond mais on peut aussi couper l’écran et être dans le noir complet. La tour de son TW7, à environ 100 euros, se pare de LED autour des haut-parleurs et sur les côtés. Elle intègre un port de charge USB tout comme beaucoup des nouveautés de la marque. Le Robot Karaoké plaira aux jeunes filles. Il s’agit d’une enceinte avec micro qui permet de chanter sur la musique, de s’enregistrer et de réécouter sa prestation (50 euros).

Thomson Audio Vidéo, vers le haut

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Parmi les nouveautés présentées par Thomson Audio Vidéo, on notera la tour premium Ruban vendue 400 euros. La puissance est de 300 W et un soin particulier a été apporté au rendu sonore. Elle intègre un lecteur CD, ce qui n’est plus si courant, le Bluetooth, une prise USB de lecture et une autre de charge. L’écran OLED affiche un menu déroulant pratique. Elle sera disponible en novembre prochain. Thomson Audio Video présentait également des tourne-disques (150 euros) et son nouveau système multi-room qui a la particularité de reposer sur un système hybride en Bluetooth et radio-fréquence. Ce système ne permet pas d’écouter des morceaux différents sur chaque satellite mais à l’avantage d’être très simple à paramétrer et surtout de faire baisser le prix ! Le look est plutôt réussi, notamment la finition blanc et bois. Comptez 250 euros. De manière générale, la stratégie de Thomson Audio Video est de redessiner ses produits de manière à construire une cohérence au niveau du design.

Pure, radios en bois

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Pure a dévoilé lors de l’IFA sa nouvelle gamme de radios numériques et Internet, à commencer par la radio numérique et Internet Evoke F3, avec Bluetooth et Spotify Connect intégrés. Nous avons également pu découvrir la 3ème génération des radios numériques One Mini, Midi et Maxi, le nouveau radioréveil Siesta Rise et la nouvelle série Evoke C. Cette série de systèmes audio tout-en-un adopte un design très réussi, en bois avec les angles arrondis. La gamme compte trois radios : Evoke C-D4, C-D6 et C-F6 et intègre la radio numérique, FM et Internet, le Bluetooth et le CD. La radio Internet Evoke F3 est compacte et intègre un affichage TFT de 2,4 pouces (200€). Elle adopte également le style bois avec bords arrondis.

Ministry Of Sound

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C’est la firme anglaise Bullitt qui a récupéré la lourde tâche de développer une gamme audio utilisant le nom d’une des discothèques les plus connues au monde. Les quelques produits présentés sur le salon nous ont agréablement surpris. La gamme d’enceintes a particulièrement attiré notre attention. Malgré des tarifs très abordables (99 euros pour le modèle de base Audio S), ces enceintes proposent un son puissant et relativement équilibré en plus d’un look soigné et d’une conception intelligente. Les trois tailles (S, M et L) sont déclinées dans des versions « Plus » connectables en Wi-Fi et Airplay. L’application multi-room est simple à utiliser et offre la compatibilité avec la plupart des grands services de streaming. Ministry Of Sound devrait être disponible en France dans le courant du mois de Septembre.

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