On pourrait donner différents exemples de la façon dont Shadows of the Damned habille des mécanismes de jeu classiques avec un joyeux mauvais goût qui n’appartient qu’à lui. Il y a le portail positionné au-dessus du pubis d’une call-girl sur un billard et dans lequel on doit grimper pour progresser vers la zone suivante. Il y a aussi le Téléphone Rose que l’on doit appeler pour améliorer son pistolet, surnommé « le bandeur», et le transformer en un « grand bandeur » en demandant à la fille au bout du fil de lui débiter des obscénités. Bien entendu, il y a aussi le pont de nichons. Un pont, donc, fait de, euh, nichons.
Retrouvez le test de Shadows of the Damned sur Eurogamer.fr.
Bonne lecture !