Kaspersky pas content

Il y a quelques jours, Kaspersky était accusé par Reuters de pratiques inqualifiables. Pour faire court, les éditeurs d’anti virus partagent des bases de données communes afin d’être plus efficace dans la lutte contre les malwares. Kaspersky aurait, selon Reuters, étudié attentivement le fonctionnement de ses concurrents, ajouté des fichiers anodins à la base de donnée commune afin de leur faire détecter des faux positifs.

Kaspersky n’a évidemment pas tardé à répondre en expliquant que Reuters racontait n’importe quoi. D’abord, il n’a pas apprécié du tout le fait qu’à l’origine de l’article, il y ait deux sources anonymes. Puis il s’est ouvertement moqué de l’agence en se demandant qui a tué JFK ou qui contrôle le triangle des Bermudes. Il explique que c’est très simple de désigner n’importe quel individu en ajoutant simplement « d’après deux sources anonymes ».

Non sans humour, il ajoute que d’habitude il ne lit pas les dépêches de l’agence. « Mais quand je les lis, j’y vois des faux positifs ».