Désolé pour cette accroche, qui porte une barbe qui est apparue le jour de la sortie du premier volet, tant elle était déjà ringarde. Je veux bien évidemment parler du jeu Tropico. Malheureusement, durant ma longue carrière de testeur de jeu vidéo, je n’ai jamais eu l’occasion de tester un de ces titres qui en arrive pourtant à son cinquième volet. Par contre, le « Vous en reprendrez bien une tranche ? » pour Quake, j’ai dû la faire au moins deux fois.
Voici donc le cinquième volet de ce jeu fabuleux qui apporte une réelle nouveauté par rapport aux précédents. Comme vous le savez peut-être, il s’agit d’incarner un dictateur dans une république bananière et de gérer les industries, le tourisme et évidemment, le gouvernement. Mais il y avait une carence jusqu’à présent. Si vous regardez bien les différentes dictatures à travers le monde, vous vous apercevez d’une chose : les despotes sont de grands sentimentaux. Si, si, surtout quand il s’agit de placer des membres de la famille à des postes clé. Tropico 5 intégrera cet aspect : faire de son oligarchie une histoire de famille et surtout, créer une dynastie.
Et ne comptez pas sur moi pour faire un rapprochement avec un gouvernement qui ferait bosser des copains ou qui essaierait de placer son propre fils à des postes clé.
