Une des conséquences des récents évènements tragiques de novembre pourrait être l’interdiction en France du réseau TOR et des réseaux Wi-Fi publics.
Dans le cadre de deux projets de loi relatifs à l’état d’urgence et à la lutte antiterroriste, des propositions ont été faites par les forces de l’ordre et sont étudiées par la DLAPJ, la Direction des Libertés Publiques et des Affaires Juridiques.
Tor et Wi-Fi public
Selon Le Monde qui a pu accéder à ces projets de loi, outre un placement en détention des personnes fichées S, la Police et la Gendarmerie souhaitent avoir un plus grand contrôle sur les réseaux informatiques. Une de leur demande est l’interdiction des « connexions Wi-Fi libres et partagées » et des connexions Wi-Fi publiques.
De manière plus réaliste, les forces de l’ordre souhaitent aussi bannir le réseau TOR reconnu pour sa grande protection des sources et la difficulté de pénétration dans le réseau.
Enfin, dernière proposition : flasher tous les véhicules à l’aide des radars pour pouvoir suivre, éventuellement, un véhicule sur la route et non mettre des contraventions.
Ces propositions de loi devraient être présentées en début d’année prochaine par la Direction générale de la police nationale.
pas encore assez de répression vis a vis du petit peuple. ces gueux ont encore la 4G, 3G, 2G pour accéder au service qu’est internet qui devrai être réserver a l’élite de la nation.
j’envisage d’écrire a notre bon roi pour lui rappeler que les cerfs ne doivent pas avoir trop d’accès a la culture. mais qu’ils ne faut surtout pas toucher au confort et la la télévision. cela les endors, les rend léthargique et malléable!
TOR a l’avantage et l’inconvénient de préserver l’anonymat et beaucoup de choses illicites s’y passent. Pour le WiFi public, cela permet aussi de réaliser des connexions sans se faire repérer. Et malheureusement, ce sont souvent les honnêtes gens qui en pâtissent. Et comme vous dîtes, il reste encore les 2-3-4G, mais là les « malhonnêtes » comme les « honnêtes » sont plus facilement traçables.