Journée mondiale sans Facebook : qui peut survivre ?

Voilà désormais quinze ans que Facebook est tranquillement installé dans le monde des réseaux sociaux. Marco voit même son réseau social boycotté le temps d’une journée.

Tu vois ce fameux test quand tu viens de t’embrouiller avec ton/ta bien aimé(e) et que tu t’efforces de ne pas lui parler tout le lendemain ? Et bien c’est un peu ce que tentent de faire les internautes depuis 2011 envers Facebook, et certains ne tiennent pas.

Facebook : 24h pas plus

Le but de cette journée : se passer du réseau social durant 24 heures. Alors il y a 9 ans, certainement que cette tâche devait être difficile, tant les réseaux sociaux n’étaient pas si développés que ça (MSN, Myspace), mais aujourd’hui, bien d’autres réseaux sociaux subsistent. Facebook, c’est 2,3 milliards d’utilisateurs sur le globe terrestre mais il faut l’avouer, Facebook attire de moins en moins la génération qui arrive et les jeunes en général. Alors que certains suppriment leurs comptes, Twitter, Snapchat, Instagram (qui appartient à Mark Zuckerberg) et même Pinterest prennent énormément de place.

Des scandales qui ternissent une image dégradée

Une des principales raisons de ce revirement de situation (outre le fait que le réseau social paraisse has been pour certains) est très certainement le nombre de scandales qui ne cesse de croître. En effet, Facebook n’est pas franchement reconnu pour la protection optimale des données personnelles de ses utilisateurs. À l’heure où la photographie et plus précisément le selfie prend de la place chez les jeunes, Instagram accueille de plus en plus d’abonnés, tout comme Snapchat avec son concept de photos éphémères qui plait beaucoup. Une journée sans Facebook donc pour tester aussi le taux d’addictifs au réseau social. Un comportement un peu bâtard lorsque l’on sait que tout est fait dans les réseaux sociaux pour devenir accro à ses derniers. Une prise de conscience lorsque l’on sait que Facebook n’est pas prêt de disparaître de si tôt.

Voir aussi >> Facebook : des « Gangsters numériques », vraiment ?

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